Super aLive prolonge sur scène les aventures animées de Super : un Super projeté, un Super géant, accompagné en direct par des musiciens.
« JUSTICE ? JUSTICE ? … » un extrait poétique du ciné concert rock'n roll de Je Suis Super !
Christophe Blanc, voix
Jean-François Oliver, claviers & électronique
Benjamin Cebrian, batterie
Fred Conte, guitare
50 minutes
Pour ce répertoire constitué de mélodies originales, le collectif D999 prend une direction complétement homérique, s’octroyant la collaboration du clarinettiste Louis Sclavis, formant ainsi un quintet purement instrumental qui transmet une musique jubilatoire où les écritures propulsent les improvisations.
« Le titre est un hommage à tous ces justiciers masqués, qu’on rêve secrètement d’incarner, et dont on se détache peu à peu par pudeur ou désillusion. Et
pourtant… La musique est comme eux, vive, sonore, audacieuse. Elle déploie une profondeur mélodique offrant une grande lisibilité narrative,
évoquant des airs rêveurs, empreints d’une certaine mélancolie.
Le propos n’est pas de jouer une musique qui illustrerait les hauts faits de nos héros mais plutôt le chant intérieur de nos élans, de nos ardeurs
héroïques »
Louis Sclavis, clarinettes
David Caulet, saxophones
Jean François Oliver, vibraphone, effets
Olivier Lété, basse électrique
Christian Lété, batterie
Cinq protagonistes : un batteur, un bassiste, un saxophoniste, un improvisateur électronique et un spatialiseur se trouvent encerclés par leur public qui, lui-même, est encerclé par un système de diffusion sonore multi-points. Un premier principe du projet est immédiatement perçu par le public : il est dans les mêmes conditions d’écoute que les musiciens qui vont lui livrer un concert. L’improvisateur électronique va générer des sonorités artificielles qui réagissent aux jeux des différents instrumentistes. Ceux-ci doivent alors dialoguer avec un système sonore qu’ils génèrent eux-mêmes. Le public est au cœur de ce dialogue car il est placé entre les musiciens et le système de diffusion.
Toutes les sources, artificielles et réelles (instruments traditionnels) sont spatialisées dynamiquement dans ce système multi-points. Là-encore les musiciens doivent jouer avec un paramètre nouveau qui est l’écoute réelle de l’événement sonore livré au public.
Jean François Oliver, laptop
David Caulet, saxophones
Olivier Lété, basse électrique
Christian Lété, batterie
Marc Siffert, spatialisation
Ce spectacle propose de vivre l’expérience d’un concert installation éclaté où les musiciens, physiquement isolés, sont reliés entre eux par un réseau sonore à la dérive.
L’espace de liberté induit par cette configuration permet de créer un concert à subjectivités multiples. L’enjeu, pour les interprètes comme pour le public, étant
de trouver son chemin propre à travers ce réseau où les informations sonores et visuelles sont complètement isolées et éclatées.
Jean François Oliver, régie compositionnelle
Marc Siffert, spatialisation
David Caulet, saxophones & effets
Olivier Lété, basse électrique & effets
Emmanuel Scarpa, batterie
Thomas Bernadet, scénographie & vidéo
Christophe Blanc, scénographie & vidéo